L’Avenir – Live buzz – Juliane Chleide : Corps à corps
Les candidats de The Voice Belgique ont du mal à se faire une place au soleil. Parmi ceux de la saison 1 dont on entend encore un peu parler, il y a Juliane Chleide.
Après avoir sorti un EP de 5 titres en septembre de l’année dernière – sur lequel de nombreuses radios ont flashé pour le single « Corps à corps » – la jeune femme originaire de Jamoigne (Luxembourg) a séduit la chaîne de télé M6, qui a décidé de produire et diffuser le clip de ce single. Un premier pied en France qui en appelle d’autres ? Juliane Chleide l’espère. Elle est passée dans nos studios pour une session live buzz (en collaboration avec Nostalgie).
Nous en avons profité également pour faire le point avec elle. Sur sa carrière, sa collaboration avec M6. Et comment se déroule l’après The Voice.
Comment est venu le contact avec M6 ? C’était un concours ?
Oui, apparemment, sauf que moi je n’étais pas au courant de quoi que ce soit ! C’est via certains contacts que mon E.P. est arrivé chez M6 et que j’ai été choisie.
Et donc ils ont pris en charge le tournage du single «?Corps à corps?» dans la version du disque, pas la version acoustique choisie pour le clip que vous aviez publié sur Youtube ?
Exactement. C’est une version arrangée par Christophe Battagli, qui a réalisé tout mon disque. C’est une version beaucoup plus rythmique que la version radio officielle.
Découvrez ce premier titre, Corps à corps, dans notre première vidéo ci-dessus.
Nous vous invitons a régler le niveau de lecture sur HD pour une qualité d’image et de son optimale.
Deuxième titre : One day, c’est une reprise du titre d’Asaf Avidan :
Ce tournage, c’était une bonne expérience ?
Oui ! J’étais entourée de professionnels de talent, avec l’équipe de Woowyourlife (NDLR : qui a produit l’émission Le Grand Mag sur Canal +). Avec le réalisateur Fabrice Coton, on s’est très vite compris sur ce que l’on voulait donner comme image. Et puis mes déplacements ont été chorégraphiés par Marvin Goffin, qui a quand même bossé avec Madonna !
Quelle visibilité cela vous apporte ?
Je ne connais pas le nombre de diffusions par jour, mais je sais que pendant deux mois, mon clip est au moins diffusé une fois sur M6 et aussi sur d’autres chaînes du groupe (W9, Téva….).
La France, c’est une nécessité pour vous ?
Pas forcément une nécessité. Mais une envie d’élargir mon public et mon territoire. Je pense que ce que je fais peut plaire autant aux Français qu’aux Belges.
On vous a vue au Franc’off l’an dernier à Spa. On vous y reverra cette année ?
Oui. Grâce au Franc’off, j’ai pu participer aux Francosessions de Spa, avec une grosse formation à la clé… Et cette année, je vais participer aux Vitrines des Francos toute la semaine en solo. Et puis, le 19 juillet, je serai au Théâtre des découvertes à 20 h 30 dans une version groupe.
Le troisième titre de cette session acoustique, c’est Peu importe :
Quel regard avez-vous sur vos débuts ?
Vous vous attendiez à ce que ce soit si difficile ? Sincèrement, je suis plutôt quelqu’un d’impatient et qui a beaucoup de caractère. Du coup, j’ai tendance à vouloir précipiter les choses. Après, je ne me suis jamais posée la question de savoir si cela allait être difficile. J’ai un «?but?» et je fais tout pour y arriver. Cela prend beaucoup d’énergie et de travail, mais c’est normal.
Enfin, dernier titre, Tu dis :
Quels sont les projets pour cette fin d’année ?
Je suis en pleine préparation d’un album. J’aimerais aussi collaborer avec certains artistes français et belges, comme Saule, Jali… Mais il faut voir qui serait intéressé par bosser avec moi et qui a du temps à me consacrer…