En déten­tion provi­soire depuis plus de trois semaines, Nabilla ne reçoit que très peu de visites. Les auto­ri­sa­tions sont déli­vrées au compte-goutte : même son petit frère, Tarek Benat­tia, n’a pas le droit d’al­ler la récon­for­ter au parloir.

En dehors de ses avocats, Me Desrues et Me Saint-Palais, et de sa grand-mère Livia, Nabilla n’a pas vu grand monde depuis sa mise en examen pour « tenta­tive d’ho­mi­cide » sur son compa­gnon. En déten­tion provi­soire depuis plus de trois semaines à la maison d’ar­rêt pour femmes de Versailles, la star­lette ne reçoit que très peu de visites, ces dernières étant soigneu­se­ment filtrées dans le cadre de l’ins­truc­tion. Une situa­tion que regrette Tarek, son petit frère, qui n’a pas pu entrer en contact avec elle depuis la nuit du drame. « Quand on a des nouvelles, on sait que tout va bien, qu’il n’y a pas de problèmes », tempo­rise-t-il sur Non Stop People. Mais il aime­rait bien s’en rendre compte par lui-même : « Je n’ai pas encore eu l’ac­cord, a-t-il regretté. Mais c’est en cours. »

Le jeune homme, qui s’était dit cette semaine plutôt confiant sur l’ave­nir de sa sœur, espère qu’elle sortira de prison au plus vite, si possible avant les fêtes : « Si le père Noël peut me faire un cadeau et la mettre dans ma chemi­née, ce serait super ! », a-t-il confié à Non Stop People. En atten­dant cette éven­tuelle libé­ra­tion, Tarek lui a adressé un message de soutien : « Je l’aime fort, et [je veux] qu’elle me revienne vite. » A la justice d’en déci­der