Facebook cristallise les tensions matrimoniales, selon une étude britannique. Les conjoints qui se séparent sont toujours plus nombreux à invoquer le réseau social comme principale cause de divorce. Bienvenue dans l’univers désinhibant et piégeant des réseaux sociaux
Ce carrefour incontournable d’échanges, dont les fidèles avoisineraient le milliard met un clic final à des unions qui n’ont pas résisté au quotidien, et encore moins à l’ingérence du virtuel dans les foyers. Les raisons avancées par les époux ne surprendront personne. à l’ère des relations 2.0, les avocats britanniques et américains plaident le Chat compromettant avec une personne du sexe opposé, commentaires désobligeants sur son ex, messages trop libidineux. Du flirt à l’adultère, cela ne tient qu’à un message. Facebook crée une offensive de charme diabolique en encourageant au « plus si affinités ». Le cyberspace met un clic final à des unions qui n’ont pas résisté au poids du quotidien, et encore moins à l’ingérence du virtuel dans les foyers.
Les statistiques sont édifiantes : En Grande- Bretagne, le réseau social est cité dans 33% des procédures de séparation . Un couple sur trois divorce à cause du réseau social. Plus surprenant : un juge américain a officiellement intégré le réseau social à une procédure de divorce en obligeant les époux à échanger leurs mots de passe pour que chacun puisse passer au peigne fin le compte de l’autre. Encore plus aberrant : en Inde, une jeune mariée a demandé le divorce car son mari avait oublié d’actualiser sa situation amoureuse sur son compte Facebook. Le réseau social sèmerait la discorde dans les ménages, mais comment est il possible de passer du statut de « mariée » à « c’est compliqué » en un clic