En effet, la maire du VIIe arrondissement de Paris en a profité pour régler quelques comptes sur les rumeurs qui circulent à son égard dans la presse concernant un rapport de la cour des Comptes qui épingle des dépenses réalisées dans les ministères qu’elle a dirigés. Rachida Dati accuse: «Vous au moins, M. Bourdin, vous n’êtes pas comme ces petits merdeux de journalistes qui ne sont pas journalistes. Ils vous appellent un quart d’heure avant, ils se prennent pour des procureurs en vous disant ‘Il paraît que’, sans regarder le fond».
En pleine campagne pour les régionales, Claude Bartolone s’est permis de critiquer le parti « rikiki » de Nicolas Sarkozy.
Selon une expérience menée par l’association AIDES, un dentiste sur trois refuse les patients séropositifs.
Les révélations, plus fracassantes les unes que les autres, se succèdent depuis l’arrestation, la semaine dernière, de hauts dignitaires de la FIFA. Hier, nous avons appris que la FIFA a fait cadeau de 5 millions de dollars à l’Irlande après la main de Thierry Henry pour la qualification au mondial en 2010.
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Dimanche, un terminal de paiement de l’un des parkings implantés sur la commune a distribué plus de 500 tickets sur lequel étaient inscrits des messages peu courtois, tels que «Copé voleur». Jean-François Copé, le député-maire de Meaux, a moyennement apprécié la plaisanterie.
Le Canard Enchaîné a fait savoir que Nicolas Sarkozy aurait dit du maire de Pau : « le bègue, je vais le crever ». Une allégation démentie par l’entourage de l’ex-chef de l’Etat. François Bayrou a pris le temps d’y répondre dans l’émission Questions d’info : « C’est une phrase d’une très grande élégance, sympathie, distinction et finesse et qui contribue à tirer vers le haut le débat politique français ».
Nouveau rebondissement dans l’affaire des soupçons de corruption qui agite la Fifa depuis quelques jours. Selon le procès-verbal de son audition, l’Américain Chuck Blazer, 70 ans, ancien membre de la Fifa, a admis qu’il avait reçu des pots-de-vin lors des processus d’attribution des Coupes du Monde 1998 et 2010.
Enfin, une journaliste de la BBC a annoncé la mort d’Elizabeth II ce mercredi sur Twitter. Une erreur embarrassante attribuée à une simulation qui aurait mal tourné. Une enquête est ouverte.
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Sepp Blatter a indiqué qu’il convoquait un congrès extraordinaire où il remettra en jeu son mandat et au cours duquel son successeur sera élu
Sepp Blatter a annoncé lors d’une conférence de presse ce 2 juin sa démission de la présidence de la FIFA à la suite des nombreux scandales financiers et de corruption qui éclaboussent l’institution. Sepp Blatter, 79 ans, en poste depuis 1998, a indiqué qu’il convoquait un congrès extraordinaire où il remettra en jeu son mandat et au cours duquel son successeur sera élu.
Le scandale de corruption qui touche actuellement plusieurs responsables de la Fédération internationale de Football, a un goût amer chez beaucoup de Marocains. Aujourd’hui, de forts soupçons pèsent sur l’Afrique du Sud, accusée d’avoir acheté des voix en donnant 10 millions de dollars à l’Union caribéenne de football et à Jack Warner.
Cette coupe devait être celle de la fraternité, du sport et du réveil de l’Afrique, mais aujourd’hui, elle sera également celle de la corruption et des pots-de-vin. Avec les arrestations opérées hier au sein de la Fifa et cela à la demande d’un juge américain, les Marocains ont aujourd’hui le droit de demander des comptes à l’organisation internationale.
Lors de l’attribution de la coupe du monde, qui avait été promise par Sepp Blatter à l’Afrique, trois pays étaient en concurrence, l’Egypte, l’Afrique du Sud et le Maroc. Bien avant le début des votes, tous les spécialistes savaient que seuls l’Afrique du Sud et le Maroc avaient des chances d’obtenir l’organisation de la compétition, l’Egypte était éliminée d’avance. Le 14 mai, soit le jour du vote, l’Afrique du Sud obtient 14 votes, le Maroc 10 votes alors que l’Egypte repart bredouille.
Pour avoir cette coupe du monde, le gouvernement sud-africain a, selon la justice américaine, versé 10 millions de dollars à Jack Warner qui dirigeait à l’époque l’Union caribéenne de football (CFU) mais aussi la Confédération de football d’Amérique du Nord, Centrale et des Caraïbes. Cet argent était officiellement destiné à soutenir la diaspora africaine, mais en réalité il a servi à acheter des voix.
« Ce versement avait pour contreparties les voix de Warner, du conjuré n°1 et du conjuré du n°17 en faveur de l’Afrique du Sud, plutôt que du Maroc, pour organiser le Mondial 2010 », explique la juge américaine, soit trois voix pour le compte de l’Afrique du Sud au détriment du Maroc.
Du côté sud-africain, on nie tout achat de voix. Réagissant hier, le gouvernement a estimé que toutes les accusations sont sans fondements, demandant au passage à la justice américaine de fournir des preuves de ce qu’elle avance. Du côté marocain, aucune réaction officielle n’a été publiée, mais des voix s’élèvent pour demander à ce que justice soit faite !
Les dirigeants marocains ne sont pas si innocents que ça. A y regarder de lus près, le royaume est soupçonné d’avoir acheté au moins une voix pour la Coupe du monde 1998, organisée finalement par la France.
Dans les mois qui ont précédé le vote, le Maroc a acheté la voix d’un membre du comité de la Fifa. La justice américaine écrit :
Blazer (Chuck Blazer, ancien président de la Concacaf) était présent quand un représentant de la candidature marocaine a offert un pot-de-vin au co-conspirateur #1 en échange de sa promesse de voter pour le Maroc lors du comité exécutif désignant l’organisateur du Mondial 1998. Le co-conspirateur #1 a accepté l’offre.
Pour la Coupe du monde 2010, le Maroc est également soupçonné d’avoir donné un million de dollars à Jack Warner, celui-là même qui a reçu de la part de l’Afrique du Sud 10 millions de dollars sous couvert d’aides en faveur de la diaspora africaine.
A y regarder donc de plus près, on remarque que le système de pots-de-vin était assez courant au sein de la FIFA, que ce soit de la part des européens que des autres pays « moins développés ». Le vote au sein de l’instance, qui doit se dérouler aujourd’hui, nous renseignera sur la volonté de la FIFA de vouloir tourner définitivement la page de la corruption et du clientélisme.
En conclusion, ni le Maroc ni l’Afrique du Sud ne méritaient d’organiser la Coupe du Monde.
Après deux éditions au Maroc, le Mondial des clubs retrouve le Japon qui organisera la compétition en 2015 et 2016, comme l’a indiqué la FIFA ce jeudi matin.
Au revoir le Maroc! Kon’nichiwa le Japon! Le pays du soleil levant organisera pour les deux prochaines années la Coupe du Monde des clubs, ainsi en a décidé la FIFA par la voix de son secrétaire général, Jérôme Valcke, ce jeudi matin. Déjà six fois hôte de l’épreuve inter-continentale, de 2005 à 2008, puis en 2011 et 2012, le Japon a donc été préféré au Qatar. «Ce pays a un beau CV en matière de compétitions FIFA, a justifié Jérôme Valcke, et nous savons que l’organisation sera parfaite, avec un public nombreux et une atmosphère de fête».
Pour sa part, le président de la Fédération japonaise (JFA), Kuniya Daini, s’est montré ambitieux à l’annonce de la nouvelle: «Avec la FIFA, nous allons tout faire pour assurer le succès de cette compétition». L’instance internationale a également annoncé les dates de la compétition qui aura lieu du 10 au 20 décembre. Reste désormais à déterminer les villes hôtes. Le Real Madrid a remporté la dernière édition organisée au Maroc après sa victoire devant San Lorenzo au Grand Stade de Marrakech.
Une coupe du monde féminine des clubs pourrait voir le jour dans le cadre d’un plan de développement du football féminin.
La création d’une Coupe du Monde Féminine des Clubs de la FIFA et la mise en œuvre des dix principes clés pour le développement du football féminin ont figuré parmi les principaux points à l’ordre du jour de la Task Force de la FIFA pour le football féminin, qui s’est réunie mardi au siège de l’instance mondiale à Zurich. Au cours de cette réunion, la task force a discuté de concepts possibles permettant la création d’une Coupe du Monde Féminine des Clubs de la FIFA, avec en ligne de mire l’organisation d’une toute première édition en 2017, rapporte la FIFA sur son site web.
« Dans le cadre de la proposition, la task force a noté l’importance de la création d’une telle compétition afin de mettre en lumière chaque année le football féminin de haut niveau et ainsi encourager les clubs, les confédérations et associations membres à renforcer le football de clubs et les structures de clubs dans leur région respective », ajoute l’instance. Le futsal, la professionnalisation du football féminin, les licences de clubs, les questions médicales et les stratégies en vue d’accroître le nombre de femmes entraîneurs figuraient parmi les autres sujets abordés lors de cette séance.
Selon un rapport publié mercredi 28 janvier par l’organisme FIFA/TMS, les sommes dépensées dans les transferts ont atteint la somme de 4.1 milliards de dollars (40 milliards DH) en 2014. Une somme record qui ne cesse de progresser d’année en année.
Le monde des transferts est un monde où circule énormément d’argent. La FIFA a d’ailleurs créé plusieurs outils afin de recenser tous les mouvements de joueurs professionnels comme indiqué sur son site internet. « FIFA TMS GmbH a été créée en 2007, et le système international de régulation des transferts (ITMS) est devenu obligatoire en octobre 2010, offrant aux autorités davantage de données sur chacun des transferts internationaux et augmentant ainsi en retour la crédibilité de tout le système des transferts et l’intégrité du football en général. »
13 090 transferts internationaux recensés
Pour son quatrième rapport annuel, l’organisme FIFA/TMS a donc publié ce mercredi le Global Transfer Market 2015 qui recense toutes les opérations réalisées durant l’année 2014. Résultat: les clubs ont établi un nouveau record mondial. Avec un total de 13.090 transferts internationaux recensés, soit une hausse de 2,9% par rapport à 2013 (12.718 mouvements), les formations de la planète football ont dépensé 3,6 milliards d’euros (environ 33 milliards DH) en termes d’indemnités de transfert ! C’est la première fois que la barre des 4 milliards de dollars est dépassée lors d’une année civile. En effet, ce montant a augmenté de 2,1% par rapport aux chiffres de 2013 (35 milliards DH).
Le Brésil, le pays des transferts
De manière plus précise, ce rapport indique également que le Brésil est le pays où a été enregistré le plus grand nombre d’opérations avec «646 transferts entrants et 689 transferts sortants». En revanche, le pays auriverde n’est pas celui qui a brassé le plus d’argent. Grâce à sa Premier League ultra dépensière, l’Angleterre est la nation qui a investi le plus sur le marché (10 milliards). Côté revenus, c’est l’Espagne qui a su tirer le maximum de profits durant le mercato (587 M€). Enfin, alors que le métier d’agent continue de faire débat, le rapport précise que les intermédiaires de clubs se sont répartis la bagatelle de 208 M€ (environ 2,2 milliatrds DH) en termes de commissions. Une activité qui rapporte puisque ce total a grimpé de 8,2%.
Le Maroc, qui attend les sanctions de la Confédération Africaine de Football (CAF) suite au désistement du royaume, devrait jouer les qualifications à la Coupe du Monde 2018 en Russie.
a appris de sources proches de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) que les Lions de l’Atlas ne seront pas suspendus pour les qualifications à la Coupe du Monde 2018 en Russie, dans la zone Afrique. Joseph Blatter, le président de la FIFA, l’a confirmé à Fouzi Lekjaa, son homologue de la FRMF, lors d’une discussion informelle entre les deux hommes. Mais cela ne concerne pas les sanctions que devrait infliger au Maroc la Confédération Africaine (CAF) qui devrait annoncer, dans les prochains jours, des pénalités financières et peut-être sportives pour avoir demandé le report de la CAN 2015 pour cause d’épidémie d’Ebola.
L’ancien international français a confirmé à Londres qu’il souhaitait se présenter à la présidence de la FIFA, face au président actuel Sepp Blatter.
David Ginola a créé une énorme surprise en annonçant sin intention de se présenter à la présidence de la FIFA ce jeudi à Londres. Un match Ginola contre Sepp Blatter pour la présidence de la FIFA? L’affiche semble pour le moins déséquilibrée et l’ancien joueur du Paris SG et de Newcastle a lui-même reconnu dans une interview à Infosport qu’il n’avait «pratiquement aucune chance» d’être élu président de la FIFA le 29 mai prochain. Lors d’une conférence de presse organisée et diffusée par un bookmaker irlandais qui l’accompagne dans sa démarche, « El Magnifico », 47 ans, a expliqué ce qui guidait sa candidature, sans donner beaucoup de détails.
Ginola risque aussi de se confronter aux textes de la FIFA, qui prévoient en effet que les candidats à la présidence doivent avoir joué un rôle actif dans l’administration du football, à l’échelon national ou international, pendant deux de ces cinq dernières années. Consultant ou présentateur télé, le Français ne remplit a priori pas ces critères. Les candidats doivent également avoir obtenu le soutien de cinq fédérations membres de la FIFA. Ces parrainages, Ginola doit les obtenir avant le 29 janvier.
Le classement mondial des Nations de la FIFA pour le mois de décembre vient d’être publié par l’institution suisse. Le Maroc progresse d’une place et se retrouve 81e. L’Allemagne domine ce classement, quant à l’Algérie (18e), elle se classe première nation africaine.
Les premières places du classement des Nations FIFA sont encore loin pour les Lions de l’Atlas. Malgré une légère progression ce mois-ci (une place de gagnée), le Maroc squatte une inquiétante 81e place, derrière l’Angola et devant les Emirats Arabes Unis. En Afrique, l’Algérie (18e) domine toujours le classement africain devant la Tunisie (22e) et la Côte d’Ivoire. Pour le reste, aucun changement pour les trois premiers. L’Allemagne, l’Argentine et la Colombie gardent leurs places sur le podium.