
Fidèle à son esprit taquin et provocateur, Jamel Debbouze, fondateur du festival Marrakech du rire n’a pas manqué de titiller Salim Cheikh le directeur de 2M. «Pourquoi est ce que le festival Marrakech du rire ne passe pas en direct sur 2M? On n’est pas assez sexy ? Est-ce qu’il faut nous aussi nous mettre en culotte et se trémousser pour pouvoir passer en direct ?». Ce sont les questions qu’a adressées Jamel Debouze aux responsables de 2M faisant allusion,à la polémique suscitée par le passage du concert de Jennifer Lopez sur le petit écran.
https://www.youtube.com/watch?v=7gsJ6nTW2ec
Après avoir postulé en 2007, Jamel Debbouze remet ça. L’humoriste français d’origine marocaine compte reprendre le restaurant de l’Institut du Monde Arabe (IMA) après la résiliation du contrat du restaurateur libanais Noura pour « faute grave », indique LeParisien.
Cette fois, Jamel peut avoir une chance car ce n’est plus Dominique Baudis qui est à la tête de l’IMA, mais Jack Lang, l’un de ses proches. Lang avait même récemment fait savoir qu’il voulait « mettre en avant une offre de restauration aux couleurs du Maroc », le pays d’origine du candidat.
En pleine promotion de son nouveau film d’animation « Pourquoi je n’ai pas mangé mon père », Jamel semble être un touche à tout. Le groupe Noura avait présenté une facture de 41 000 € de frais de bouche impayés à Jack Lang. Son départ et le remboursement des factures, seront tranchés le 21 mai au tribunal.
ALM : À trois mois du mois de Ramadan, quelles sont vos nouveautés ? Y a-t-il des projets en cours ? Et pourquoi une troisième saison de «lcouple» ne verra-t-elle pas le jour?
Hassan El Fad : Je tiens à vous dire que je suis une personne qui travaille tout le temps et sans arrêt. Donc je travaille selon mes inspirations et mes besoins et pas sur commande pour le mois de Ramadan. Pour «lcouple», il n’y aura pas de troisième saison, car cette série risque de se saturer. En fait, je crois que ce n’est pas une bonne chose que l’artiste reste prisonnier d’un seul personnage qui est «Kabbour» ou «Châaibiya».
Comment jugez-vous les productions ramadanesques ?
Juger c’est très facile. Et franchement je ne suis pas un grand adepte des jugements surtout que je sais en connaissance de cause qu’il est extrêmement périlleux de vouloir égayer la production du mois de Ramadan. Il est aussi facile et simpliste de faire porter le chapeau de la médiocrité des programmes aux seuls artistes, alors qu’on sait que la responsabilité est largement partagée avec certains fonctionnaires de la télévision publique sans généraliser car à la télévision j’en connais des intègres.
À quand un show avec Gad El Maleh et Jamel Debbouze ?
Il n’y a pas de projets d’avenir entre moi, Gad El Maleh et Jamel Debbouze. Et je ne serai pas présent lors du prochain Marrakech du Rire (MDR). Par contre, nous avons collaboré amicalement moi et Gad El Maleh dans le film L’Orchestre de minuit de Jérôme Cohen Olivar. Ce fut un plaisir de travailler avec lui, car Gad est un garçon talentueux et un artiste complet très généreux sur scène.
Si on devait vous comparer à un humoriste français, lequel choisiriez-vous ?
Je n’aime pas me comparer à une autre personne ou un autre humoriste. Sinon, j’ai beaucoup d’estime pour certains humoristes marocains et étrangers qui me marquent par leurs travaux et passages dans leurs spectacles.
Après l’expérience de Tarik Iben Ziyad, verra-t-on d’autres personnages historiques dans vos prochains spectacles ?
Oui, effectivement, actuellement j’ai l’intention de travailler sur une série de personnages historiques connus par les Marocains. C’est un montage de personnages historiques de composition. Je préfère ne pas en dévoiler le nom pour garder l’élément de surprise. Je suis un gourmand de l’Histoire du Maroc. Je suis quelqu’un qui aime découvrir les personnes qui ont marqué l’Histoire du Maroc et le monde arabe en général.
C’est quoi votre secret pour maintenir une salle archicomble dans tous vos spectacles ?
Être rigoureux, sérieux et surtout créatif dans son travail et encore le travail! Il n’y a pas de recette miracle pour que la salle soit archicomble. Il y a plutôt l’amour des gens qui me pousse à travailler durement pour réussir et maîtriser mes spectacles. Et pour ma part, je me tue pour carburer et satisfaire le grand public.
Un comédien marocain pourrait-il vivre aujourd’hui de son art ?
Certainement. Je vois qu’un vrai artiste peut très largement vivre de son art. Mais, là, je parle d’un artiste qui sait se vendre et qui sait valoriser son talent et ses capacités artistiques. Donc on peut vivre dignement de ce métier noble.
Si on vous demande de décrire votre humour, quels seront vos termes ?
C’est une question typique. Alors c’est un humour «hamed» (Rires).
Mariés depuis 2008 et parents de deux enfants, Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze étaient les invités de Michel Drucker dans Vivement Dimanche, ce week-end. L’occasion pour le couple de revenir sur leur première rencontre et leur coup de foudre sur le tournage d’Astérix aux Jeux Olympiques.
« Je n’avais pas le droit de l’approcher », confie la journaliste qui était venue sur le plateau pour interviewer les comédiens. « On m’avait dit : « Attention, il y a deux personnes que tu n’approches pas, c’est Jamel Debbouze qui ne supportera pas d’être embêté et Gérard Depardieu. » Et moi, j’ai obéi sagement. Donc dès que je le voyais, je m’écartais un peu », poursuit la jeune femme sous le regard surpris de l’humoriste.
Mais Mélissa Theuriau révèle ensuite que Jamel Debbouze lisait le journal Le Monde… à l’envers, afin de ne pas montrer qu’il avait eu en réalité un véritable coup de foudre. « T’as décidé de lâcher les dossiers ! C’est vrai, je faisais comme si je ne l’avais pas vue », réagit l’acteur devant Michel Drucker.
Le début de leur histoire d’amour ne débutera que quelques semaines plus tard, et, sept ans après, le couple file toujours sur la voie du bonheur, comme il l’a confirmé à Madame Figaro : « On s’admire, on se respecte, on regarde les choses du bon côté, enfin on essaie au maximum… Mélissa me comprend, me soutient, m’aide à relativiser lorsque je suis assailli par l’angoisse. Tous les deux on s’encourage, sans toujours être d’accord d’ailleurs. Parfois, c’est explosif ! Mais notre relation repose sur cette sincérité. Je rêvais d’une femme qui soit gentille, très intelligente et très belle, et j’ai les trois réunis ! », y déclare Jamel Debbouze. Même son de cloche du côté de Mélissa Theuriau : « Jamel me motive par sa créativité et sa bienveillance constantes, continue la productrice. Comme tout le monde, nous connaissons des échecs, des déceptions, des difficultés, mais nous les surmontons toujours. »
En pleine promotion de son nouveau film d’animation « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », l’humoriste franco-marocain Jamel Debbouze est passé sur TF1 au journal de Claire Chazal avec comme invité de marque Edouard lui même, personnage principal du film.
https://www.youtube.com/watch?v=gR9IPEj3U7U
Le nouveau film de l’humoriste franco-marocain Jamel Debbouze, « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », sort en France le 8 avril prochain. En attendant de le voir au cinéma, découvrez la chanson « Get up et fais ton truc », extraite de la bande originale de ce film d’animation.
https://www.youtube.com/watch?v=frQdWyFNbqI
Jamel Debbouze est en couverture du magazine GQ d’avril… Dans les colonnes du mensuel masculin, l’acteur évoque Léon, sa mère, son train de vie aisé et son dernier film.
Le mensuel masculin GQ affiche fièrement l’humoriste préféré des français en couverture de son numéro d’avril. Jamel Debbouze y apparaît en costume cravate, les yeux levés vers le ciel.
D’ailleurs, si aujourd’hui l’homme qui soufflera bientôt sa 40e bougie porte à merveille le smoking et a une vie aisée, il n’oublie néanmoins pas d’où il vient : « Je fais gaffe à ça, rester au contact de la vérité, du sol. Le hall de bâtiment, c’est là que j’ai appris à danser, c’est là que j’ai entendu Nova pour la première fois, que j’ai embrassé une fille » confie-t-il. Avant de poursuivre : « Je crois que, quand tu es né pauvre, tu le restes un peu toute ta vie dans ta tête. »
Dans sa tête, des projets, beaucoup de projets mais un qui lui tient terriblement à cœur : le film d’animation en motion capture, Pourquoi j’ai pas mangé mon père.
Ce dernier débarquera dans les salles de cinéma le 8 avril prochain. En attendant, Jamel explique ce que cache véritablement cette réalisation : « Moi, ce que j’aime dans ce film c’est que j’y retrouve tous les thèmes qui m’ont touché profondément: l’exclusion, la différence, l’amour, l’amitié évidemment et puis, effectivement, le pouvoir (…) La différence entre Édouard (le héros, ndlr) et moi, c’est que moi j’ai été aimé tout de suite par ma mère, par mon père, et exclu après. Exclu à cause de ma taille d’abord, ensuite de mon handicap, puis de ma tête » dit-il.
Dans ce même entretien, l’époux de la sublime Mélissa Theuriau évoque aussi sa paternité et notamment le prénom de son fils que sa mère ne réussit toujours pas à prononcer : « Ma mère n’arrive toujours pas à le dire. Elle l’appelle Ali, son deuxième prénom. » Léon attendra.
Sur son compte Twitter, la star de l’humour a dévoilé, il y a quelques heures, un cliché du tournage de Pourquoi j’ai pas mangé mon père.
Mais qui est « ce petit gars » installé dans les tribunes VIP du Parc des Princes, se demande sur Twitter un fan britannique de football? La réponse du « petit gars »? Elle est signée Jamel Debbouze.
Il est très populaire en France et par-delà les frontières de l’Hexagone. Mais il semble qu’on doive tout de même présenter de temps à autre cette star franco-marocaine qui joue immanquablement ses one man show à guichets fermés.
Ainsi, mercredi 18 février, Jamel debbouze assistait, dans les tribunes VIP du Parc des Princes, au match PSG- Chelsea. Ce qui n’a pas manqué d’interpeller un fan britannique qui a posé, sur Twitter, la question de savoir qui était «ce petit gars» installé parmi des célébrités. Et de supposer qu’il avait gagné sa place dans les tribunes VIP grâce à un concours.
Réponse pleine d’humour et d’autodérision de Jamel Debbouze sur Twitter: une photo où toutes les personnes en présence ont pris son apparence et qu’il a accompagnée de ces mots:
Le petit bonhomme sera partout le 8 avril ! JD pic.twitter.com/qrrH7M4XIi
— Jamel Debbouze (@DebbouzeJamel) 19 Février 2015
Le film d’animation « Pourquoi j’ai pas mangé mon père » réalisé par le Franco-marocain Jamel Debbouze sort au mois d’avril prochain. Découvrez la bande-annonce !