Alors qu’il sera présenté le mois prochain au Festival de Cannes, le film «Amy» est contesté par la famille d’Amy Winehouse.
Réalisé par le Britannique Asif Kapadia, le documentaire «Amy», consacré à la chanteuse soul Amy Winehouse, retrace son parcours depuis ses premiers pas sur scène jusqu’à sa mort en 2011. Mais la famille d’Amy Winehouse ne voit pas d’un bon œil ce film. Dans un communiqué publié ce lundi 27 avril, la famille dit souhaiter «se dissocier du film qui va sortir au sujet de leur très aimée et regrettée Amy», pensant qu’il est «une occasion manquée de célébrer sa vie et son talent, qu’il est trompeur et contient des contrevérités basiques».
De son côté, le réalisateur Asif Kapadia, qui avait reçu un BAFA du meilleur documentaire en 2011 pour «Senna», un documentaire sur le champion brésilien de Formule1 Ayrton Senna, défend son film. «Quand nous avons été approchés pour faire le film, nous nous sommes lancés avec le soutien complet de la famille Winehouse et nous avons abordé le projet avec une objectivité totale, comme avec Senna», soutient-il dans un communiqué.
Ce sont pas moins de 100 interviews qui ont été menés par les documentaristes avec des gens qui ont connu la chanteuse. «L’histoire que le film raconte est le reflet de ce que nous avons trouvé à partir de ces interviews», avancent-ils.
Le spectateur jugera sur pièce.
La chanteuse serait derrière une crise entre les clients d’un casino, un opérateur téléphonique et la direction d’une station balnéaire. La star libanaise menace de recourir à la justice pour l’exploitation de sa photo sans autorisation. Elle réclame 1 million de dollars.
La chanteuse libanaise Nancy Ajram menace de poursuivre en justice la direction d’une station balnéaire et d’un opérateur téléphonique marocains très réputés pour l’exploitation de sa photo dans un jeu organisé dans un casino pour leurs fidèles clients, à savoir des flambeurs et des membres de la jet set. Dans son édition de ce lundi 9 mars, AL Massae rapporte que la station balnéaire très fréquentée a proposé à ses clients du casino, des personnalités VIP des mondes des affaires, politique et des sports, une soirée animée par la chanteuse libanaise.
Sauf que, l’opérateur téléphonique, qui sponsorise la soirée et dont le nom n’a pas été mentionné, a organisé un jeu exploitant la photo de Nnacy Ajram qui n’a pas vu d’un bon œil cette exploitation sans son autorisation. D’après Al Massae, l’artiste a menacé d’annuler sa soirée, prévue le 14 mars courant, et réclamé 8 millions de dirhams. Pour en rajouter à cette situation compromettante, les clients s’en sont mêlés en exigeant le maintien de la soirée. En effet, poursuit la publication, ce sont les flambeurs qui font la loi dans le casino. Selon Al Massae, certains d’entre eux ont perdu en une soirée 2 millions de dirhams et d’autres 230.000 dirhams, précisant qu’il s’agit de joueurs de football professionnels évoluant en Europe et au Maroc ou encore de chanteurs populaires.
Les paroles de la chanson « 3tini saki » continue de faire polémique au Maroc. Et malgré plusieurs menaces de poursuites en justice, la chanteuse marocaine Zina Daoudia assure qu’elle n’a toujours pas reçu de plainte contre elle.
« 3tini saki » (donnes moi mon sac) la chanson de Zina Daoudia a déjà dépassé les 11 millions de lectures sur Youtube. Un succès inattendu qui n’a pas attiré que de bonnes critiques. Les paroles jugées trop osées, ont été l’occasion pour certains détracteurs de la chanteuse de s’exprimer.
D’après elle, ces gens-là, notamment un politicien qui voulait porter plainte contre elle, profitent de sa notoriété pour se faire connaître à leur tour.
Pourtant, interviewée par Sayidaty, la chanteuse révèle que malgré toutes les menaces de plaintes, elle n’en a reçu aucune jusqu’ici. Les détracteurs se seraient-ils calmés après avoir eu ce qu’il voulait : une petite heure de gloire ?
Daoudia aurait-elle pris la grosse tête ? C’est ce que semble penser un magazine féminin, après que la chanteuse lui a réclamé 120 000 dirhams pour une photo de couverture.
Un magazine féminin, connu au Maroc, a demandé à la chanteuse Zina Daoudia de faire la Une de son magazine. Cette dernière était d’accord, à la condition que ce dernier lui verse la modique somme de 120 000 dirhams d’après le magazine.
Le contrat contenait une photo de couverture et cinq autres en interne. Le magazine a refusé cette demande, justifiant que la chanteuse avait déjà posé en Une pour eux, sans demander la moindre rémunération.
Une source de pense que le succès de « 3tini saki » (donnes moi mon sac), lui serait monté à la tête. La chanteuse fait déjà beaucoup parler d’elle ces derniers temps à cause des paroles de sa chanson. Elle a su, cependant, se défendre face à ces critiques. Que dira-t-elle à cette dernière ? La confirmera-t-elle ?
Des plaintes déposées, d’autres retirées. Younes Benslimane, avocat et politicien du parti PJD le confirme à Alayoum24 : la chanteuse marocaine Zina Daoudia sera bel et bien poursuivie en justice.
Suite aux rumeurs de plaintes contre la chanson « 3tini saki » (donnes moi mon sac) de Daoudia, Younes Benslimane le confirme à Alayoum24, la chanteuse sera poursuivie en justice pour ses paroles jugées trop osées.
Deux plaintes seront déposées, la première à Casablanca, où réside la chanteuse, et la deuxième à Marrakech, lieu de la seconde résidence de Zina Daoudia. Le politicien déclare pourtant être pour la liberté d’expression, qui a pour limite la portée négative de cette chanson.
Explications
Au début, il ne voulait pas porter plainte pour ne pas ébruiter l’affaire et risquer de faire connaître la chanson. Cependant, Daoudia étant une chanteuse très populaire au Maroc, ses paroles ont été écoutées près de 6 millions de fois. Une telle portée dérange Younes Benslimane qui parle de l’influence que pourraient avoir ces paroles sur les petites filles qui se filment en train de chanter du Daoudia en dansant.
Il déclare avoir reçu plusieurs plaintes d’associations qui estiment que la chanteuse insulte les Marocaines en parlant de ce mode de vie. Le politicien ajoute que la plainte n’est pas contre Zina Daoudia mais plutôt contre ses paroles, qu’il voudrait voir interdites de diffusion. Ceci est, d’après lui, un message à tous les artistes qui se devraient de respecter davantage les traditions et l’image du Maroc.
L’artiste marocaine Dounia Batma ne fait pas que créer le buzz sur la Toile par l’étalage de ses richesses et ses polémiques parfois déplacées. Elle sait aussi faire montre de générosité et venir en aide aux personnes dans le besoin.
La chanteuse marocaine Dounia Batma a pris en charge le transport du corps d’une Marocaine décédée à Manama au Bahreïn. L’artiste, accompagnée de son mari, a rendu visite, dimanche dernier, à l’ambassadeur du Maroc au Bahreïn Ahmed Rachid Khattabi en vue de régler toutes les modalités du transport vers le Maroc de la dépouille de la défunte. L’artiste a tenu à garder discrète cette initiative révélée sur le Web par les amies de la défunte. Les internautes marocains ont beaucoup apprécié.
