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Lionel Messi, unique buteur contre l’Atletico Madrid (1-0), a offert au FC Barcelone son 23e titre de champion d’Espagne et le premier trophée majeur du club depuis 2013, posant la première pierre d’un possible triplé Liga-Coupe-Ligue des champions, comme en 2009. Avec 93 points à l’issue de cette 37e et avant-dernière journée, le club catalan ne peut mathématiquement plus être rejoint par le Real Madrid (2e, 89 pts), vainqueur en vain de l’Espanyol Barcelone (4-1) avec un triplé de Cristiano Ronaldo. Fer de lance de la deuxième meilleure attaque de Liga (108 buts) derrière celle du Real (111 buts), le génial Lionel Messi a encore été intenable. A l’heure de jeu, il a fini par trouver la faille: percée dans la surface, une-deux avec Pedro, et frappe croisée dans le petit filet opposé (65e), son 41e but en Liga cette saison, synonyme de sacre pour le Barça.
En janvier dernier, Adidas dévoilait sa nouvelle campagne #ThereWillBeHaters avec Luis Suarez, Gareth Bale, James Rodriguez et Karim Benzema. Il manquait donc unn joueur qui n’était que Lionel Messi.
Chose faite aujourd’hui puisqu’on retrouve Lionel Messi dans la nouvelle pub d’Adidas que tu peux découvrir ci-dessous :
https://www.youtube.com/watch?v=x5UfNmZ4-Pg
Alors que le Ballon d’Or portugais a une clause de départ fixée à 1 milliard d’euros dans son contrat, son agent a laissé entendre qu’un transfert de son protégé pourrait se négocier autour de 400 millions d’euros.
Auréolé de son troisième Ballon d’Or le mois dernier, le deuxième consécutif, Cristiano Ronaldo semble avoir (provisoirement ou définitivement) pris un léger ascendant sur Lionel Messi dans la course au titre officieux de meilleur joueur du monde.
A en croire Jorge Mendes, son agent, le Portugais est en tout cas le joueur le plus cher du monde. A l’automne dernier, la presse catalane écrivait que le FC Barcelone serait prêt à laisser filer Messi contre un chèque compris entre 200 et 250 millions d’euros (le montant de sa clause libératoire).
A la même époque, Mendes, lui, révélait que la clause de départ de CR7, stipulée dans son contrat avec le Real Madrid, s’élevait à 1 milliard d’euros! «On ne m’appelle plus pour savoir si Ronaldo est transférable, déclarait-il le 13 octobre dernier au quotidien espagnol As. Ça ne sert à rien de m’appeler pour me demander si le joueur considère un départ. Son prix est celui indiqué dans son contrat, soit 1 milliard d’euros.»
Une clause astronomique, qui n’a évidemment pas bougé depuis quatre mois et qu’aucun club au monde n’est en mesure de payer aujourd’hui. «Cristiano Ronaldo, c’est un milliard d’euros, a encore rappelé Jorge Mendes mardi sur la BBC. Sa clause libératoire est d’un milliard, donc son prix est un milliard. Ronaldo est le meilleur joueur de tous les temps. Tu ne peux le comparer à aucun autre joueur.» Mais en homme d’affaires avisé, l’agent le plus influent du monde du football, avec Mino Raiola, sait bien qu’à ce prix-là, «c’est impossible de l’acheter.»
S’il veut laisser la porte ouverte à d’éventuels acheteurs, il ne peut donc pas rester ferme sur ce prix. Alors le Portugais a clairement indiqué que «si le Real devait, pour une raison ou pour une autre, se séparer de lui, il faudrait mettre 300 millions de livres sterling (soit près de 400 millions d’euros, ndlr) sur la table.» Une ristourne de plus de 50% par rapport à sa clause libératoire. Mais un montant tout de même astronomique, qu’aucun club européen ne peut se permettre de payer, sous peine de subir les foudres de l’UEFA, via le fair-play financier. Pour Mendes, la conclusion est donc simple: «[Ronaldo] ne quittera jamais le Real Madrid. J’en suis convaincu.»
Juste avant la remise du Ballon d’Or lundi dernier, une scène cocasse s’est déroulée entre Lionel Messi et la petite famille Ronaldo.
Pour la remise de son troisième Ballon d’Or, Cristiano Ronaldo a débarqué à Zurich avec toute sa petite famille. «J’essaye d’apercevoir mon fils, ma mère, ma famille. Bon, tout va bien…», a d’ailleurs lancé la star portugaise au moment d’entamer son discours de remerciement. Avant d’accompagner son père sur scène, Ronaldo junior a eu l’occasion de croiser Lionel Messi. Ce qui a donné lieu à un échange plutôt savoureux. Alors que CR7 faisait les présentations, le Portugais a en effet confié à son rival argentin que son fils regardait des vidéos de lui et qu’il lui parlait également souvent de lui. Ce à quoi la «Pulga» a répondu : «il ne faut pas avoir honte»…
https://www.youtube.com/watch?v=udFKuEpP_tw
© Copyright: DR L’année suivante, le Ballon d’Or fusionne avec le titre de meilleur joueur de l’année, que descerne la FIFA. Messi devance Iniesta et Xavi, pourtant tous deux champion du monde avec l’Espagne. La « Pulga » est resté modeste avec un costume noir et un chemise blanche.
© Copyright: DR En 2011, c’est un complet violet en velour qu’a choisi « Leo » pour se rendre à la cérimonie du FIFA Ballon d’Or. Il débute ainsi un cycle qui va le mener à toujours aller plus loin.
© Copyright: DR Qu’est passé par la tête à la Lionel Messi pour arborer un costume à pois? En prime, le noeud papillon à sorti.
© Copyright: DR L’an dernier, le costume rouge était de rigueur.
© Copyright: DR En compagnie de son partenaire en club, Andrès Iniesta, le quadruple Ballon d’Or est revenu à la tendance violet, déjà aperçu en 2011.
Lors des différentes cérémonies du Ballon d’Or depuis 2009, Lionel Messi ne cesse d’innover dans ses tenues vestimentaires. Hier soir encore, l’Argentin s’est distingué dans l’originalité et démarqué de son adversaire de toujours, Cristiano Ronaldo, plus classique.
Scène étonnante hier en prélude de la rencontre entre l’Argentine et la Bosnie. Alors que les deux équipes s’apprêtaient à monter sur la pelouse du stade Maracana de Rio,
Lionel Messi a visiblement nié un gamin qui lui tendait la main avant d’aller serrer celles des arbitres.
Était-ce délibéré de la part de la star de l’équipe d’Argentine ? Ou bien, concentré sur sa rencontre, n’a-t-il pas vu l’enfant ? Nous vous laissons vous forger votre opinion ! Toujours est-il que le petit semblait très déçu !
Une Coupe du monde nécessite une concentration maximale pour tous les joueurs, même Lionel Messi.
Lors de la victoire de l’Argentine contre la Bosnie (2-1), le quadruple Ballon d’or semblait déjà dans son match juste avant l’entrée des joueurs dans le mythique Maracanã. Concentré sur sa salutation au corps arbitral, la Pulga n’a pas esquissé le moindre regard pour un enfant qui espérait lui aussi avoir droit à un serrage de mains de la part de son idole.
